AMBHHC - FORUM
SORTIES ET ATELIERS => Sorties Mycologiques et Botaniques => Discussion démarrée par: AMBHHC le lundi 12 juin, 2023, 17:29:53
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Bonjour à toutes et à tous,
Ce jeudi, Dominique B.R nous propose d'aller herboriser sur les hauteurs du département, à Douch.
Pour cela:
Rendez-vous à 9H à la gare de Bédarieux
ou
Rendez-vous à 9H30 sur le grand parking qui se situe à votre gauche à l'entrée du village de Douch.
L'accès au village se fait par la seule et unique route (D180E5), voir cartes.
Coordonnées GPS: Latitude: 43.610766
Longitude: 2.975130
Altitude: 890 mètres.
Nous mangerons en chemin, nous prendrons donc notre repas dans notre sac à dos.
A jeudi...
Amitiés.
L'AMBHHC
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COMPTE RENDU
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LISTE DE SÉBASTIEN C. AVEC LE CONCOURS DES PARTICIPANTS A DOUCH.
Espèce(s) Saisie(s) de Douch à la table d'orientation par la grande piste:
Acer monspessulanum L.
Acer pseudoplatanus L.
Achillea millefolium L.
Aira sp.
Ajuga reptans L.
Alchemilla saxatilis Buser
Anthoxanthum odoratum L.
Arctium minus (J. Hill) Bernh.
Arnoseris minima (L.) Schweigger & Koerte
Arrhenatherum elatius (L.) P. Beauv. ex J. & C. Presl
Asplenium trichomanes
Biscutella lima Rchb
Bromus hordeaceus L.
Bromus sterilis L.
Calluna vulgaris (L.) Hull
Capsella bursa-pastoris (L.) Medik.
Cardamine hirsuta L.
Carduus vivariensis Jordan
Carex laevigata Sm.
Carex nigra (L.) Reichard
Carex pairae F.W Schultz
Centaurea pectinata L.
Cerastium pumilum Curtis
Cirsium palustre (L.) Scop.
Conopodium majus (Gouan) Loret
Corylus avellana L.
Crataegus monogyna Jacq.
Crepis capillaris (L.) Wallr.
Crepis sancta (L.) Bornm
Crepis vesicaria subsp. taraxacifolia (Thuill.) Thell.
Cytisus oromediterraneus Rivas ...
Cytisus scoparius (L.) Link
Dactylorhiza fuchsii (Druce) Soo
Deschampsia flexuosa (L.) Trin.
Digitalis purpurea L.
Drosera rotundifolia L.
Dryopteris oreades Fomin
Echium vulgare L.
Erica cinerea L.
Eriophorum sp.
Erodium cicutarium (L.) L'Hér.
Fagus sylvatica L.
Festuca lemanii Bast.
Fraxinus excelsior L.
Galium pumilum Murray
Genista anglica L.
Genista pilosa L.
Geranium dissectum L.
Geranium lucidum L.
Geranium molle L.
Geum urbanum L.
Hieracium murorum L.
Hirschfeldia incana (L.) lagr.-Foss.
Holcus lanatus L.
Hordeum murinum L.
Hypericum humifusum L.
Hypochaeris glabra L.
Ilex aquifolium L.
Jacobaea adonidifolius Loisel.
Jasione montana L.
Juniperus communis L.
Linaria repens (L.) Miller
Logfia minima (Sm.) Dumort.
Lotus corniculatus L.
Luzula campestris (Ehrh.) Lej.
Malva neglecta Wallr.
Matricaria discoidea DC.
Medicago minima (L.) L.
Mentha suaveolens Ehrh.
Micranthes clusii (Gouan) B. Bock
Micropyrum tenellum (L.) Link
Ornithopus perpusillus L.
Pilosella officinarum F. W. Schultz & Schultz-Bip.
Pinus sylvestris L.
Plantago holosteum Scop.
Plantago lanceolata L.
Poa annua L.
Poa nemoralis L.
Polygala vulgaris L.
Populus tremula L.
Potentilla hirta L.
Pteridium aquilinum (L.) Kuhn
Quercus humilis Miller
Quercus petraea (Mattuschka) Liebl.
Ranunculus acris L.
Rosa micrantha Sm.
Rubus idaeus L.
Rumex acetosella L.
Salix caprea L.
Scleranthus annuus L.
Scleranthus perennis L.
Scorzonera humilis L
Sedum dasyphyllum L.
Senecio inaequidens DC.
Silene latifolia Poiret subsp. alba (Miller) Greuter & Burde
Silene nutans L.
Sorbus aria = Aria edulis (Willd.) M.Roem.
Sorbus aucuparia L.
Spartium junceum L.(L.) M.T.Sharples & E.A.Tripp
Spergula morisonii Boreau
Spergularia rubra (L.) . Presl & C. Presl.
Stellaria holostea = Rabelera holostea (L.) M.T ...
Stellaria media (L.) Vill.
Teesdalia nudicaulis (L.) R. Br.
Tephroseris helenitis (L.) B. Nordenstam
Teucrium scorodonia L.
Trifolium pratense L.
Trifolium repens L.
Urtica urens L.
Vaccinium myrtillus L.
Verbascum thapsus L.
Veronica arvensis L.
Veronica officinalis L.
Vicia sativa L. subsp. nigra (L.) Ehrh.
Vicia sativa L. subsp. segetalis (Thuill.) Celak.
Viola canina L.
Viola tricolor L.
Liste disponible au téléchargement aux formats .docx ou PDF en dessous▼
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Mon petit résumé:
1 Trifolium pratense
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2 Arrhenaterum elatius
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3 Ornithopus perpusillus
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4 Hypericum humifusum
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5 Veronica officinalis
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6 Digitalis purpurea
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7 Crachat de coucou.
Bave mousseuse faite de larves de petits insectes proches des cicadelles et pucerons : les cercopes.
Ces larves, qui se nourrissent de la sève des plantes, se soustraient au regard des parasites et prédateurs en excrétant, par un anus modifié, cette substance mousseuse appelée « Crachat de coucou ».
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9 Araignée crabe - Misumena vatia (Clerk, 1758) appelée aussi Thomise variable.
L’espèce est présente sur les fleurs de milieux très variés en humidité ou en température, à diverses hauteurs dans la végétation.
L’araignée se tient le jour sur la fleur et capture les insectes qui viennent butiner en les saisissant à la tête. Une fleur non visitée par les butineurs est quittée après quelques temps.
Les insectes butineurs constituent les principales proies : papillons, diptères, abeilles, … La taille des proies est souvent très grande mais la capture est d’autant plus efficace que le venin est inoculé près de la tête et a un effet rapide.
Les femelles de Thomises des fleurs telles Misumena vatia ou le Thomisus onustus peuvent adapter leurs couleurs à celles du support sur lequel ils chassent.
Cette adaptation est lente, de quelques jours en passant du jaune au blanc, de beaucoup plus dans le sens contraire. En effet, la couleur jaune est due à un pigment qui peut s’excréter relativement rapidement mais nécessite plus de temps pour être synthétisé.
En l’absence de pigment jaune, la couleur est blanche en raison de la présence d’un pigment blanc, la guanine, toujours présent chez les araignées. La guanine résulte de la dégradation des composés azotés du corps des proies.
Elle est en partie excrétée, en partie stockée dans les téguments. La vue de l’araignée joue un rôle dans ces changements de couleur générale. Les taches rouges, qui existent parfois sur les côtés de l’abdomen, ont un déterminisme génétique.
Source : INPN
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Michel, je propose :
3. Ornithopus persupillus
6. Oui, Digitalis purpurea
7. Crachat de coucou. Bave mousseuse faite de larves de petits insectes proches des cicadelles et pucerons : les cercopes.
Ces larves, qui se nourrissent de la sève des plantes, se soustraient au regard des parasites et prédateurs en excrétant, par un anus modifié, cette substance mousseuse appelée « Crachat de coucou ».
9. Oui, Misumena vatia (Clerk, 1758)
L’espèce est présente sur les fleurs de milieux très variés en humidité ou en température, à diverses hauteurs dans la végétation.
L’araignée se tient le jour sur la fleur et capture les insectes qui viennent butiner en les saisissant à la tête. Une fleur non visitée par les butineurs est quittée après quelques temps. Les insectes butineurs constituent les principales proies : papillons, diptères, abeilles, … La taille des proies est souvent très grande mais la capture est d’autant plus efficace que le venin est inoculé près de la tête et a un effet rapide.
Les femelles de Thomises des fleurs telles Misumena vatia ou le Thomisus onustus peuvent adapter leurs couleurs à celles du support sur lequel ils chassent. Cette adaptation est lente, de quelques jours en passant du jaune au blanc, de beaucoup plus dans le sens contraire. En effet, la couleur jaune est due à un pigment qui peut s’excréter relativement rapidement mais nécessite plus de temps pour être synthétisé. En l’absence de pigment jaune, la couleur est blanche en raison de la présence d’un pigment blanc, la guanine, toujours présent chez les araignées. La guanine résulte de la dégradation des composés azotés du corps des proies. Elle est en partie excrétée, en partie stockée dans les téguments. La vue de l’araignée joue un rôle dans ces changements de couleur générale. Les taches rouges, qui existent parfois sur les côtés de l’abdomen, ont un déterminisme génétique.
Source : INPN
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Dans la tourbière, une Misumène variable et sa proie, un fadet commun Coenympha pamphilus (Linnaeus, 1758) sur Dactylorhiza fuchsii
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Merci Micheline et Fabienne pour votre coup de main. ;)
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Bonjour,
Voici mon petit compte-rendu solitaire ;D avec essai d'identification ...
J'ai donc vu l' Alchemilla saxatilis et le Dactylorhiza maculata
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Je remets Digitalis purpurea qui m'a semblé avoir une drôle de couleur chez Michel et avec les fruits en plus ...
Et la Drosera rotundifolia
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Le Jacobaea adonidifolia et la Linaria pelisseriana
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Malva moschata et Minuartia recurva
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Le Plantago alpina et la Potentilla erecta
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Pour les amateurs d'entomologie (puisqu'il y en a), voici ce que j'ai pu observer :
Le Bombylidae Villa hottentotta et la Thomise Thomisus onustus
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La Petite Nymphe au corps de feu (Pyrrhosoma nymphula) et les Réduves (Rhynocoris iracundus)
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Un Zygaenidae de la sous-famille de Procidinae : Je pensais à Jordanita chloros, mais ses ailes ne sont pas assez bronzées et un peu hors de sa zone de répartition ... je resterai donc à la sous-famille ...
et une punaise de la famille des Myridae déjà vu je crois : Hadrodemus m-flavum
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La punaise d'eau Geris lacustris et le Moiré des fétuques (Erebia meolans)
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Et pour terminer, le Gazé (Aporia crataegi)
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Daniel,
Concernant Jordanita chloros (Hübner, 1813), la turquoise des centaurées, est-ce l'examen des genitalia qui t'a permis de l'identifier ? Le genre Jordanita est en effet pratiquement impossible à identifier à vue.
Il me semble d'ailleurs que J. chloros a les ailes antérieures plus dorées. Son corps était-il bleu brillant ? Elle est notée surtout présente en Ardèche et en Provence (sur liste rouge des papillons de jour de Provence-Alpes-Côte d'Azur, sur liste rouge des Rhopalocères et Zygènes de Rhône-Alpes ; en Occitanie les données sont insuffisantes pour une évaluation).
Sans l'examen des genitalia, il est peut-être plus prudent de noter Jordanita sp. femelle ?
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Bonjour Micheline,
Oui bien sûr ! L'examen des genitalia m'a tout de suite permis de l'identifier ... je l'ai mis sur le dos et avec mon oeil de lynx, je l'ai vu ...
Non, je rigole ... c'est justement la couleur un peu bronzé des ailes qui m'a poussé à proposer cette espèce, mais tu as raison c'est plus qu'aléatoire ... je corrige.
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pour la 4, je pense Hypericum humifusum
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Luzula campestris
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Capitule anguleux de Logfia minima
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Fleurs de Alchemilla saxatilis
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1. Carex
ovalis "ce n'est pas C. ovalis. ça c'est à peu près sûr, mais ne voyant pas si les fleurs mâles sont en bas ou en haut, je ne propose pas un autre nom" dit Patrice
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2. Acer pseudoplatanus
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3. Fruits de Fagus sylvatica
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4. Cirsium palustre
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5. Pinus sylvestris
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6. Sedum dasophyllum
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7. Minuartia recurva
7bis. Saxifraga clusii "c'est Saxifraga pedemontana ssp.prostii, mais pas S.clusii qui a des feuilles plus entières" rectifie Patrice
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8. Saxigraga clusii "c'est Saxifraga pedemontana ssp .prostii, mais pas S. clusii qui a des feuilles plus entières" rectifie Patrice
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9. Spergula morisonii , une fleur et deux fruits (la semaine dernière nous n'avions vu que les capsules des fruits)
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Les champignons
10. Amanita rubescens
10bis. Amanita rubescens et Glomeris sp.
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11. Amanita...
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12. Un lichen
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La petite faune
13. Coléoptère de la Famille des Tenebrionidae sous-Famille Lagriinae
Lagria atripes Mulsant & Guillebeau, 1855 ou Lagria hirta (Linnaeus, 1758).
Seule une observation détaillée des antennes, de la ponctuation du pronotum, de l'épipleure permet de les séparer.
Les adultes sont floricoles mais les larves sont saprophages dans la litière.
Jacques P.
13bis. Sur Jacobeae adonidifolius :
Coléoptère de la Famille des Cerambycidae
Stictoleptura fulva (De Geer, 1775)
Peut être confondue avec d'autres espèces comme : Anastrangalia sanguinolenta, Pseudovadonia livida, Stictoleptura hybrida, Stictoleptura maculicornis, Stictoleptura rubra
L'adulte est floricole mais sa larve est probablement saproxylique.
Jacques P.
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Sur Jacobaea adonidifolius
14. En haut :
un Coléoptère de la Famille des Oedemeridae : Oedemera flavipes (Fabricius, 1792)
En bas :
un Diptère de la Famille des Syrphidae : Sphaerophoria taeniata (Meigen, 1822)
Jacques P.
14bis. Deux Coléoptères de la Famille des Cerambycidae
En bas à gauche :
à nouveau Stictoleptura fulva (De Geer, 1775)
En haut à droite :
Stenopterus rufus (Linnaeus, 1767)
L'adulte est floricole mais sa larve est saproxylique.
Jacques P.
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15. Melitea phoebe (Denis & Schiffermüller, 1775) Mélitée des centaurées
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16. Lasiommata maera (Linnaeus, 1758), Némusien, femelle
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17. Callophrys rubi (Linnaeus, 1758), la Thécla de la ronce
17bis. Fabriciana addipe Moyen nacré ?
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18. Hespérie sp.
18bis. Lycaena phlaeas (Linnaeus, 1761) Cuivré commun femelle
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19. et 19bis. Plebejus argus (Linnaeus, 1758) Azuré de l'ajonc mâle
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Les paysages
20 et 20bis.
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21 et 21bis.
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22 Au fond la vallée de l'Orb
22bis. Devant Acer pseudoplatanus, la "leçon de notre spécialiste des arbres" Guy
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Micheline :-)
13 P1070222.JPG Coléoptère sp.
Coléoptère de la Famille des Tenebrionidae sous-Famille Lagriinae
Lagria atripes Mulsant & Guillebeau, 1855 ou Lagria hirta (Linnaeus, 1758).
Seule une observation détaillée des antennes, de la ponctuation du pronotum, de l'épipleure permet de les séparer.
Les adultes sont floricoles mais les larves sont saprophages dans la litière.
13bis P1070416.JPG Longicorne sp.
Coléoptère de la Famille des Cerambycidae
Stictoleptura fulva (De Geer, 1775)
Peut être confondue avec d'autres espèces comme ; Anastrangalia sanguinolenta, Pseudovadonia livida, Stictoleptura hybrida, Stictoleptura maculicornis, Stictoleptura rubra
L'adulte est floricole mais sa larve est probablement saproxylique.
14 P1070372
En haut :
un Coléoptère de la Famille des Oedemeridae : Oedemera flavipes (Fabricius, 1792)
En bas :
un Diptère de la Famille des Syrphidae : Sphaerophoria taeniata (Meigen, 1822)
14bis P1070416.JPG Longicornes
Deux Coléoptères de la Famille des Cerambycidae
En bas à gauche :
à nouveau Stictoleptura fulva (De Geer, 1775)
En haut à droite :
[b]Stenopterus rufus (Linnaeus, 1767)[/b]
L'adulte est floricole mais sa larve est saproxylique.
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Encore une fois merci Jacques pour ton aide précieuse.
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Bonjour Michel,
Photo 1 : Trifolium pratense
Photo 2 : Arrhenaterum elatius
Photo 3 : inversion de 2 syllabes : c'est Ornithopus perpusillus
Photo 5 : Veronica officinalis
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Merci Micheline, Fabienne et Dominique pour votre coup de main. ;)
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Micheline, pour la photo 1, ce n'est pas C.ovalis. ça c'est à peu près sûr, mais ne voyant pas si les fleurs mâles sont en bas ou en haut, je ne propose pas un autre nom.
pour 7 bis et 8 c'est Saxifraga pedemontana ssp.prostii , mais pas S.clusii qui a des feuilles plus entières.
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Quand le badaud n'est pas là ... Nous étions tous si contents d'avoir trouvé Saxifraga clusii. Quelle déception ! Merci quand même Patrice.
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si ça peut aider ; "ce n'est pas C. ovalis. ça c'est à peu près sûr, mais ne voyant pas si les fleurs mâles sont en bas ou en haut, je ne propose pas un autre nom" dit Patrice"
en haut fleur du haut de l'épi
en bas celle du bas
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idem
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je ne vois pas mieux où sont les étamines mais avec la photo du haut de Micheline je pense qu'elles sont en haut, on serait alors vers un Carex pairae ou si on veut être + synthétique C.muricata aggrégat.
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j'espérai que tu verrais mieux, moi j'ai vu tout pareil !!! et au vu des photos de Carex pairae sur flore alpes, mon échantillon n'y ressemble pas trop
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oui mais sur Carex de France de David Hamon, cela y ressemble et comme on est un groupe (C.muricata; voir note dans Flormed) avec beaucoup de formes intermédiaires ,on ne peut se fier aux seules photos.
Donc pour vraiment affirmer quoi que ce soit, il faut d'abord répondre avec certitude à la question: fleurs mâles en haut ou en bas de l'épillet?
Sans cela c'est comme discuter du sexe des anges!!!!
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y'a pas de femelle chez les anges, ça se saurait depuis le temps
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tu prends des risques camarade, avec ce genre de réflexion!
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Mais nous, nous sommes angéliques, ça ne se discute même pas🧚â€â™‚ï¸