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Citation de: Patrice Delaumône le samedi 06 décembre, 2025, 19:37:15

Bravo, Thierry, même les cortinaires avec un nom!
Arbotiporus biennis, mais c'est bien sûr!
Hygrophorus carpini? c'est pas sous les charmes? H roseo dicoideus cà pourrait pas le faire?

Je vais regarder cet hygrophore de plus près. Le GEPR le donne sous feuillus en général. Il a des spores plus petites que roseodiscoideus. Si j'arrive à en avoir.

J'en suis arrivé à une espèce proche de roseodiscoideus qui ne s'en distingue que par un centre du chapeau moins coloré de brun-rougeâtre et une réaction jaune au KOH dans la base du pied.
Sinon, il pousse dans le même habitat sous chênes verts ou à feuilles caduques.
Plutôt méridional et thermophile.
Hygrophorus leucophaeo-ilicis L'Hygrophore des chênes verts.

et donc la "Stérée hirsute" :-)

Merci Thierry, oui bien sûr  je rectifie !

- le deuxième sous sont stade anamorphe qui est un des stades de reproduction asexué caractérisé par l'émission de chlamydospores arrondis, guttulés de dimensions (3,3) 3,7 - 4,5 (4,6) µm. Ce stade anamorphe de était autrefois nommé : Ceriomyces terrestris

Pour revenir sur Abortiporus biennis présenté par Thierry, cette espèce était présente sous deux formes. (les mycologues me reprendrons si j'ai mal compris !) :
- la première : sous sa forme téléomorphe qui est le stade de reproduction sexué de l'espèce, caractérisé par la production de basidiospores allantoïdes, lisses et hyalines, (formées par la fusion de noyaux provenant de parents différents. C'est le mode de reproduction sexuée.)

Bonjour Jacques,
Merci pour ces nouvelles espèces.
Juste un petit correctif sur la dernière, c'est Stereum hirsutum avec sa face supérieure hirsute et sa marge jaune.

Pour revenir sur Abortiporus biennis présenté par Thierry, cette espèce était présente sous deux formes. (les mycologues me reprendrons si j'ai mal compris !) :
- la première : sous sa forme téléomorphe qui est le stade de reproduction sexué de l'espèce, caractérisé par la production de basidiospores allongées, lisses et hyalines, (formées par la fusion de noyaux provenant de parents différents. C'est le mode de reproduction sexuée.)

Il y avait aussi le "Scléroderme verruqueux" bien caractérisé par son péridium mince, inférieur à 1 mm et surtout ses spores rondes, échinulées, de taille (6,8) 7,2 - 8,7 (9,5) µm, ces dimensions cohérentes avec la littérature qui le différencie de Scleroderma areolatum aux spores semblables mais plus grandes 11-13 µm. 

Dans la falaise, l'ex Cheilanthes maderensis maintenant nommé Oeosporangium pteridioides (Reichard) Fraser-Jenk. & Pariyar, 2016

Le "Géastre hygrométrique" ou "Astrée hygrométrique"

La "Vesse de loup perlée"