Allez, comme je suis bon prince, je vous donne la solution :
Houlà , loin des tracassins (souci, humeur chagrine), foin de concaténations (enchaînements) de philippiques (discours violent contre une personne) ozéneuses (qui puent), vous osez les bucoliques (poèmes de Virgile) œnanthiques (relatif à l’arôme des vins) antiphonaires (recueil d'antiennes), mais je suis abstème (qui s’abstient de boire de l’alcool), cependant sensible à l'atticisme (délicatesse de langage) ! Je me tais, sauf à risquer le psittacisme (répétition comme un perroquet) moi l'épigone (péjoratif pour : successeur, imitateur) à moins d'user de l'éristique (art de la controverse), du gongorisme (préciosité de style avec abus des métaphores) ou de l'euphuisme (style précieux et maniéré) ! Je prends mon abraxas (amulette, d’un mot magique des mystiques) pour contempler votre absoluité acroamatique (qui se transmet oralement), loin de mon acatalepsie (impossibilité de connaître avec certitude) adiaphore (qu’on peut admettre ou rejeter indéfiniment) coutumière. Alors je risque l'euthynème (abréviation à deux termes d'un syllogisme comme dans « Je pense donc je suis ») : gnôthi seauton (connais-toi toi-même : le gnôthi seauton de Socrate) puis je me fais johatsu (mot japonais qui désigne les personnes « évaporées », suite à divers problèmes, souvent des dettes, qui choisissent de disparaître de la circulation) plutôt qu'oblatif (qui s'offre à satisfaire les besoins d'autrui au détriment des siens propres).