Comme vous le voyez (absence de rouge dans la liste), il n'y avait pas aujourd'hui de plante vedette sur le terrain ; en fait, elle figurait en bonne place dans notre assiette, si on peut dire à propos de pique-nique ; en la « personne » d'une délicieuse tarte au coquelicot, concoctée exprès pour nous et d'évidence avec amour par Brigitte. Et elle nous en a même proposé deux, au point que, malgré les nombreux rabs, il est resté je crois une part. Or, nous étions une bonne trentaine. Bel exemple de dévouement pour le groupe, dont chacun pourrait s'inspirer (cela glissé subrepticement), et exemple réussi. La tarte était en elle-même fine, et le goût du coquelicot impossible à rapprocher de quelque chose de connu, délicat. Patrice a même prétendu qu'il s'agissait d'un « goût venu d'ailleurs » mais il confondait avec les diverses particules qui tombent sur ses moustaches au rythme des rayons co(s)miques.
Bravo Brigitte, mention spéciale, et merci.